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Comprendre et combattre le cancer et le SiDA
dimanche 18 mai 2014, par
La cellsymbiothérapie propose une nouvelle approche de ces maladies et de leurs traitements.
La symbiose est une association à bénéfices réciproques entre deux êtres vivants. L’endosymbiose, c’est quand l’un des deux associés vit à l’intérieur de l’autre.
Selon la théorie de l’endosymbiose, la cellule vivante a acquis la fonction de respiration grâce à la "capture" d’une bactérie qui utilise ce procédé énergétique très efficace ; cette bactérie est la mitochondrie actuelle.

animation sur la respiration cellulaire dans les mitochondries (Claude Perrin)
Nos cellules possèdent donc cette centrale énergétique très efficace qui fabrique de l’énergie disponible (ATP) à partir de sucre et de dioxygène, c’est la respiration cellulaire.
Cependant lors de maladies telles que le cancer ou le SIDA, certaines de nos cellules vont perdre ce mode de fonctionnement "respiratoire" et passer en mode "fermentation", ce fonctionnement énergétique, plus archaïque est beaucoup moins efficace, comme disait Pasteur, la fermentation, c’est la vie sans air . Ces cellules ne consomment plus de dioxygène, mais sont avides en sucre.
Les cellules cancéreuses fonctionnent en mode "fermentation", elles se multiplient très vite, ne communiquent plus avec les autres cellules et ne possèdent plus de mitochondries symbiotiques.
Le stress oxydant ou stress oxydatif favorise l’altération des mitochondries et la mise en fermentation.
Un excès de sucre et une mauvaise oxygénation favorisent la fermentation.
Une activité physique régulière avec une bonne oxygénation favorise, au contraire, la multiplication des mitochondries et le métabolisme respiratoire.
Certaines ondes électromagnétiques : wi-fi, téléphone portable ou sans fil peuvent perturber le fonctionnement cellulaire et auraient un effet cancérigène (cf avis de l’OMS).
L’exposition au soleil, au contraire, favorise la synthèse de vitamine D (anti-cancer).
Voici quelques conseils simples pour améliorer son état de santé d’après la cellsymbiothérapie.
(extrait de Comprendre le cancer et le SIDA par Monique Altmann d’après le livre de Heinrich Kremer
* Préparations de curcuma.
* Substitution de vitamine D et de calcium
* Apport de glutathion, cystéine, glutamine et arginine.
* Au besoin, évacuation appropriée des métaux lourds toxiques et éloignement d’amalgames dentaires.
* Soutien de la thérapie par un assainissement de la flore intestinale afin d’assurer une bonne résorption des substances nutritives et des remèdes biologiques.
* Adapter la nourriture pour prendre suffisamment d’acides aminés essentiels, graisses riches en oméga 3, substances minérales, vitamines, éléments de trace et fibres alimentaires. Choisir des aliments de qualité biologique. Faire tester s’il existe des allergies à certains aliments. Remplacer le sucre raffiné (acidifie l’organisme parce que dépourvu de substances minérales) par le sucre complet.
Combiner dans un même repas des aliments allant bien ensemble, afin d’éviter des troubles de digestion pouvant conduire à des lésions de la membrane intestinale ; consulter à ce sujet www.mueller-burzler.de (en allemand)
* Rester le plus possible au soleil, sans utiliser de produit de protection chimique (exposition nécessaire à la synthèse de la vitamine D3 dans la peau à partir d’un stade préliminaire).
Rechercher le grand air ; porter des vêtements en matières naturelles perméables.
* Éliminer les produits cosmétiques, d’hygiène et d’entretien renfermant des substances nocives (consommation importante de glutathion pour la détoxication des substances résorbées par la peau ou inhalées).
* Limiter l’usage du téléphone portable, renoncer au téléphone sans raccordement, débrancher au possible les appareils électriques ( pour éviter les champs électromagnétiques).
Les documents ci-dessous révolutionnent les connaissances et les thérapies du cancer et du SIDA, nous laissons le lecteur juge d’adhérer ou non à ces nouvelles approches.
Comprendre le cancer et le SIDA par Monique Altmann d’après le livre de Heinrich Kremer
Interview du professeur Montagnier, découvreur du VIH
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